L’assurance vie constitue avant tout une solution financière pour valoriser un capital que vous utiliserez comme bon vous semblera : apport pour une acquisition immobilière, travaux d’agrandissement, préparation à la retraite, succession, etc ...
Au-delà de huit ans, l’assurance vie devient un outil pour améliorer vos revenus. Car vous pouvez alors laisser fructifier votre capital, continuer à l’alimenter ou effectuer des retraits partiels dans un cadre fiscal avantageux. L’assurance vie peut aussi s’avérer un complément de retraite idéal, si vous attendez l’âge de la pension pour le toucher.
Enfin, parce qu’il s’agit avant tout d’un produit d’assurance, votre contrat profite sur le plan successoral d’un statut fiscal spécifique. Le preneur peut ainsi construire un véritable planning successoral avec l’assurance vie. Il peut transmettre les sommes assurées au bénéficiaire de son choix et ainsi valoriser un proche au-delà de ses droits à la succession. Au moment du décès de l’assuré, le ou les bénéficiaires acquièrent un droit personnel sur le capital. Le bénéficiaire désigné recevra toujours le capital décès même si la succession s’avérait négative : les créanciers du défunt ne peuvent donc faire prévaloir le moindre droit sur le capital versé. De plus, le contrat offre une protection financière aux proches. Les capitaux dus seront versés aux bénéficiaires indépendamment de la durée de l’investissement ou du taux d’intérêt.
Un atout complémentaire réside dans la fiscalité favorable tant pour les produits à taux fixe que pour les assurances vie couplées à des fonds d’investissement. Dans les produits à taux fixe comme les bons d’assurance, il est possible d’éviter le précompte mobilier de 25 % pour autant que certaines conditions soient réunies. Dans le cas d’assurances vie couplées à des fonds d’investissement, il n’y a pas de précompte mobilier.